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🌍 Nouveau rapport du GIEC : l'humanité ne se remettrait pas des cataclysmes à venir, la Terre si !

Dernière mise à jour : 8 oct. 2021

PAR CAMILLE DAVIES ET CONSTANCE MILLER.

L'AFP - l'Agence France Presse - a publié le 23 juin au matin, les conclusions du rapport du GIEC bientôt publié : la hausse du réchauffement climatique pourrait entrainer des conséquences graves et irréversibles pour certaines d’entre elles, d'ici à l'année 2050. Des actions lancées cette année, seront-elles suffisantes pour relever les enjeux environnementaux qui nous attendent ?




Ce n’est pas une surprise… Le réchauffement climatique ne fait qu’augmenter les dégradations environnementales et présente un réel risque pour l’humanité. Si cela continue, ce sont les futures générations et notamment celle née autour de 2021, qui subira les conséquences dramatiques de la hausse des températures planétaires. Celles-ci touchent directement les ressources indispensables à la vie telles que les pénuries d’eau, l’exode, le manque de nourriture, les catastrophes naturelles et l’extinction de certaines espèces animales, dont une grande partie (rhinocéros, antilopes, abeilles...), est menacée, due à l'activité croissante de l'homme sur la biodiversité.


« La vie sur Terre peut se remettre d'un changement climatique majeur en évoluant vers de nouvelles espèces et en créant de nouveaux écosystèmes. L’humanité ne le peut pas. », (Sources Le Figaro), d’après le résumé technique effectué par le GIEC, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, organisme intergouvernemental ouvert à tous les pays membres de l'Organisation des Nations unies et qui regroupe actuellement 195 États.




Le rapport alarmant du GIEC ne sera publié qu’en février 2022, après avoir obtenu l’accord de 195 États membres de l’ONU.


Selon le GIEC, une hausse de température de +1,5 °C pourrait déjà entraîner

« progressivement, des conséquences graves pendant des siècles et parfois irréversibles ». La probabilité de dépasser ce seuil est estimé à 40% en 2025.



Et d'ajouter « Le pire est à venir, avec des implications sur la vie de nos enfants et nos petits-enfants, bien plus que sur la nôtre ».

Pour certaines espèces animales, il serait déjà trop tard, particulièrement pour celles qui vivent en Arctique, où la zone se réchauffe trois fois plus vite que la moyenne.

« Même à +1,5 °C, les conditions de vie vont changer au-delà de la capacité de certains organismes à s'adapter », souligne le rapport du Groupe d’experts intergouvernemental.



En 2050, des régions comme le Brésil, l’Asie du Sud-Est ou bien encore la Chine Centrale, devront faire face à des catastrophes naturelles comme les cyclones, les inondations, la canicule et la sécheresse, toujours selon ce tout nouveau rapport.

« Nous avons besoin d'une transformation radicale des processus et des comportements à tous les niveaux : individus, communautés, entreprises, institutions et gouvernement. », précise le GIEC dans son rapport.


Quel monde offrirons-nous à nos enfants ?


Camille Davies et Constance Miller


 

GIEC

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