KBW Ventures appartenant au prince saoudien Khaled, investit dans le groupe vegan français Furahaa

PAR CONSTANCE MILLER.

Crédit photos : KBW Ventures - Le Prince Khaled ben Alwaleed ben Talal Al Saud & Furahaaa.

Le montant n'est actuellement pas connu, mais c'est le premier investissement selon le site vegconomist.com, fait par un Prince appartenant à la famille royale saoudienne, Khaled ben Alwaleed ben Talal Al Saud. Cet investissement rejoint la série de levées de fonds qui explose ces trois dernières années dans le secteur vegan en France et à l'international.

Présenté comme un « investisseur et promoteur de l'entrepreneuriat, fondateur et PDG de KBW Ventures, un fervent partisan de l'énergie propre, du traitement sans cruauté des animaux et fervent partisan du secteur privé au Moyen-Orient. » (sources kb-ventures.com), c'est en mai 2021 que le Prince Khaled ben Alwaleed ben Talal Al Saud a annoncé son premier investissement, dans une entreprise végane française.

L'objectif ? Développer le groupe Furahaa afin qu'il devienne la première chaîne végétalienne en France.

Le restaurant de fast-food vegan parisien Furahaa, situé dans le 2ᵉ arrondissement, est déjà très connu de la communauté végane.

Mais attention, ce dernier vient d’annoncer sa fermeture pour deux mois, pour cause de travaux, sur sa page instagram. Rendez-vous donc mi-février dans le quartier de Châtelet à Paris pour le découvrir !

Sa particularité ? Furahaa emploie des personnes sourdes et malentendantes. La carte de l'inclusivité serait donc un des critères qui aurait séduit ce nouvel investisseur. Derrière la start-up française ? Le fondateur, Arthur Devillers.

Crédit Photo : Furahaaa - Arthur Devillers

Arthur Devillers est le fondateur de cette jeune start-up qui possède trois filiales selon vegconomist.com : PlantB2B, ViVeg et son restaurant éponyme, Furahaa.

L’objectif ? Être « Bientôt partout » en France, comme le restaurant l’annonce sur sa page instagram, en développant des franchises nationales.

Une seule question : Qu'attendent les investisseurs français !?

Constance Miller